Les nouvelles de Mars 2016
La neige est là il parait aujourd'hui. Michel Rouzet m'a envoyé quelques photos que je vous fais partager ici : LA NEIGE DE MARS
Il y a deux semaines, c'était le grand soleil, avec beaucoup de monde au Col de port pour profiter de la terrasse de la sapinière. Avez vous déjà goûté le pain perdu qu'ils font en hiver : PAIN PERDU. La confiture de pastèque qui l'accompagne est tout aussi bonne que le pain en lui même....
Sous le ciel bleu, en pleine chaleur et la neige en face, c'est le meilleur des desserts après quelques montées en raquette (et même sans aucun effort d'ailleurs...). Ca fait rêver quand on est coincés dans les bureaux....
J'ai retrouvé dans les cartons que m'ont donné Shelley et Chris des cartes postales de Prat communal où on voit l'ancienne version de l'hôtel du col de port, du temps de la famille Corraze. Ce qui fait plaisir c'est de voir que le lavoir d'hier et d'aujourd'hui sont les mêmes quelques 40 ans ou plus plus tard. J'ai aussi beaucoup de plaisir à voir la maison de Jeannette et Clément ouverte.
Une autre carte postale qui se vendait surement dans les commerces de Prat est beaucoup plus "illustrée". Le slogan est tellement juste....
A bientôt pour j'espère un peu plus de photos.
Quelques photos de ce jour, après un aller retour rapide pour cause de mauvais temps. A Prat aucune neige, juste un peu sur les prés à l'ombre. Mais dés qu'on arrive à Rogalle, on se retrouve en hiver. La montée au Col ne pose aucun problème mais le vent et les giboulées de neige dissuadent de faire des ballades Des toulousains courageux en profitaient cependant pour faire un bonhomme de neige... que ne ferait-on pas pour les enfants.
WE 19 MARS : En cette veille de printemps, hier j'ai trouvé les premières morilles. Enfin du moins pour moi ce sont les 1ères. L'an dernier frustration de ne pas en avoir ramassé, cette année revanche...même si je ne les manges pas, c'est toujours un plaisir de les trouver.
Ballade à la Serre, au fur et à mesure qu'on monte, un peu plus de neige, mais ce n'est absolument que pour dire qu'il a neigé.
Un pivert a profité de la douceur de l'hiver pour s'attaquer à un arbre . Quelqu'un sait peut-être pourquoi il commence a priori par le bas de l'arbre pour monter progressivement. Enfin, c'est du moins ce que je suppose à la "lecture" de la grandeur des trous, qui décroit au fur et à mesure qu'on monte sur le tronc. La nature est plein de mystère, mais il doit y avoir une explication.
En redescendant, juste après Bedeilhac, j'ai eu enfin l'occasion de photographier le troupeau de chèvres sauvages que certains d'entre vous ont déjà dû voir. Je n'avais jamais pû m'arrêter, cette fois ci toutes les conditions étaient réunies. Je me suis même aventurée dans le pré, avec dans l'idée de rebrousser chemin bien vite si je les voyais venir vers moi, mais je n'ai pas eu le temps de me poser la question : ils sont partis dés que j'ai mis un pied dans l'herbe, sans avoir oublié de me regarder cependant avec un air étonné et un petit "beuglement" de réprobation. Je n'ai pas insisté, aucun intention de déranger leur repas. En repartant, j'ai trouvé le cliché de la pancarte "les gardiens du calamés veillent" assez amusant avec ce troupeau derrière, alors je n'ai pas résisté.
Tout ça en images ci dessous :
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